Ma conception du BDSM

Catégories : Femmes soumises SM camisole
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il y a 12 ans

Dominateur , tel je me ressens et déterminé à être ressenti comme tel, par celle que je désire soumettre et qui me reconnait comme son Maître.

Cérébral, d’une cérébralité qui aime se traduire dans le partage d’un BDSM où les plaisirs du jour suscitent mes désirs d’aller plus loin le lendemain.

Mon expérience n’est rien à coté de tout ce que je ferai avec vous, pour vous, pour nous, dans le futur.

Je vous souhaite être ma muse, celle qui m’inspire, m’habite. Je veux que mes désirs les plus fous passent par vous, en vous, pour vous, par nous.

Je vous souhaite cérébrale, très cérébrale avec un corps qui tel un ‘’stradivarius’’ vibre, geint, soupire, suggère, traduit son âme et m’apporte par ses sons et ses sens l’extase d’un virtuose en m’obligeant à le devenir et toujours me parfaire.

Le BDSM n’est pas une religion, une secte, une abolition des tabous pour en créer d’autres. Il est osmose parfaite de l’esprit et du corps, exaltation des sens, il n’exclu pas le ‘’sexe’’ il le sublime, le prévient de sa morosité, lui donne sa vrai dimension.

Je pratique le BDSM pour m’épanouir et épanouir celle qui se soumet à ma quête de partages sulfureux. Je ne veux être un destructeur justifiant son manque de créativité perverse par vos aveux d’un masochisme décérébré.

Je suis pervers, vicieux, sans état d’âme sur le fait d’être ainsi, fétichiste de cuir et de bien d’autres choses qui par leurs aspects, leurs odeurs, leurs reflets, le son qu’elles engendrent, suscitent, suggèrent, provoquent et sont le légitime environnement des plaisirs partagés et les épices des sensations ressenties.

Aimant autant fesser que caresser, flageller qu’embrasser, sachez que la tendresse partagée est le sentiment minimum, pour donner aux dites fessées et caresses la force et la douceur attendue.

Plus est d’un domaine qui n’a point place ici….. !!! Je ne sais si je vous cherche, pensant parfois, vous avoir, peut être croisée. Cérébralité ne veut pas dire intellectualisme et n’exclue pas l’impératif de simplicité dans l’échange. Intelligence et personnalité affirmée et respectable est de rigueur. Le plaisir n’est plaisir que si il éradique le compliqué, souvent injustifié et injustifiable.

L’épanouissement, recherché, demande un peu de disponibilité. Il n’impose pas une vie commune mais un partage fréquent des moments disponibles. La vie ne permet pas la disponibilité parfaite désirée. La distance est meurtrière dans la relation, mais la distance c’est des centaines de kilomètres et pas quelques dizaines !!!! La vie professionnelle ( ses horaires, ses contraintes) peut êtres gênante ….la majeure partie du week end, des vacances, de fins de soirées, de quelques déjeuners impromptus sur une terrasse au soleil, quelques moments volés, imprévus…..plus….qui peut y croire…..sachant que je suis libre et que vous l’êtes.

Quand on désire vivre cette chance d’épanouissement, comme toute chose, cela demande un minimum d’efforts ( même si j’aime pas ce mot) des deux…… : Un peu de tolérance, un peu de temps, ne pas tenir ‘’un livre de compte’’ de celui qui fait le plus d’efforts et admettre que le Maître se doit de créer les conditions logistiques et matérielles du partage des plaisirs et jouissances. Créer les bonnes conditions de vivre pleinement ces plaisirs, n’est pas étouffer l’autre et sa personnalité . Raffinements de vie culturelle, gustative, artistique partagée est impératif.

Le BDSM est effectivement une osmose parfaite de l’esprit et du corps, exaltation des sens, il n’exclu pas le ‘’sexe’’ il le sublime, le prévient de sa morosité, lui donne sa vrai dimension.
Voila un Maître qui sait planter le décor pour indique ce qu'il désire, ce qu'il propose aussi.
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